" Pour affiner ces sollicitations et par conséquent ces perceptions, le cheval doit être parfaitement dégagé d'un état émotionnel de fatigue, de douleur. Le vibrant sera rendu avec générosité et plaisir. Ces échanges peuvent conduire jusqu'à cette communication, à la limite de l'irrationnel dans le cas du très grand art, où le couple finit par s'oublier dans l'intensité de leur dialogue"
Docteur Jean Marie Denoix, Jean Pierre Pailloux.