"L'une de ces écoles en harmonie avec les lois du mouvement et de la physiologie, secondant le cheval dans ses actions, sans le gêner, et sachant utiliser ses moyens, fait ressortir ses qualités brillantes qui seraient restées inconnues.
Dans cette école, le cavalier heureux et fier de la grâce et surtout de la docilité de son cheval s'attache à lui et aime l'équitation.
L'autre école, contraignant toujours le cheval, faussant son aplomb, constamment en opposition avec les lois du mouvement,sans harmonie, obscure, abuse des moyens du cheval, annihile ses belles qualités, qualités qui existent, mais quelle nie par cela même qu'elle ne les voit pas. Elle n'ose entrer en lice avec sa rivale qu'avec des chevaux d'élite ; d'où il résulte qu'il revient plus de mérite au cheval qu'au cavalier."
Charles Hubert Raabe